"Car nous sommes confrontés dans le monde à une conspiration monolithique et implacable qui repose essentiellement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d'influence"
JFK aborde les sociétés secrètes à Dallas. Il sera assassiné quelques temps plus tard, le 22 novembre 1963.
Ce discours est inconnu de la plupart des américains, et de la totalité (je crois qu'on peut le dire) des français.
S'il vivait de nos jours, on traiterait le président des Etats-Unis de conspirationniste.
Prenez le temps d'y réfléchir après avoir écouté cette allocution.
Je voudrais vous parler de notre responsabilité commune face à un danger qui nous concerne tous. Les événements des dernières semaines nous ont amené à percevoir cet enjeu. Mais les dimensions du problème sont apparues de manière imminente à l'horizon des prochaines années. Quelles que soient nos espérances pour le futur, s'agissant de réduire une menace ou de vivre avec elle, il est impossible d'éviter l'actuel défi qui concerne notre sécurité et notre survie, un défi qui se présente de manière inhabituelle dans toutes les sphères de l'activité humaine.
JFK s'appretait a divulguer une conspiration avant son meurtre
"Le bureau présidentiel a été utilisé pour mettre sur pied un complot d'anéantissement de la liberté du peuple américain, et avant de quitter ce bureau, je dois informer les citoyens de cet état critique."
"Le seul mot de secret est inacceptable dans une société libre et ouverte. Et nous sommes en tant que peuple intrinsèquement et historiquement opposés aux sociétés secrètes, aux serments secrets, aux réunions secrètes.
Nous avons décidé il y a longtemps que les dangers de la dissimulation excessive et injustifiée de faits pertinents dépassent de loin les dangers que l'on cite pour les justifier. Même aujourd'hui il est peu justifié de résister à la menace d’une société fermée (totalitaire?) tout en imitant ses restrictions arbitraires. Même aujourd’hui, il est peu justifié d'assurer la survie de notre nation si nos traditions ne survivent pas avec elle. Et il y a un danger très grave qu'un besoin annoncé de sécurité accrue soit l'opportunité que saisiront ceux soucieux d'étendre sa portée aux limites extrêmes de la dissimulation et de la censure officielle. Voilà ce que je n'ai pas l'intention de laisser faire dans la mesure où j'en ai le contrôle. Et aucun officiel de mon administration, quelque soit son rang, civil ou militaire, ne devrait interpréter mes paroles ici ce soir comme une justification pour censurer la presse, étouffer la dissidence, cacher nos erreurs ou taire au public et à la presse les faits qu'ils méritent de savoir.
Mais je demande à tout publiciste, tout éditeur, tout journaliste dans ce pays de réexaminer ses propres principes moraux et de reconnaître la nature du péril qui menace notre pays. En temps de guerre, le gouvernement et la presse ont traditionnellement mis en commun leurs efforts reposant largement sur l'autodiscipline, pour empêcher la divulgation d'informations non-autorisées à l'ennemi. En temps de danger "clair et présent", les tribunaux ont maintenu que même les droits privilégiés du premier amendement doivent céder devant le besoin commun de sécurité nationale.
Aujourd'hui, aucune guerre n'a été déclarée, et aussi féroce le combat puisse-t-il être, elle pourrait bien ne jamais se déclarer à la façon habituelle. Notre mode de vie est attaqué. Ceux qui se veulent nos ennemis progressent partout dans le monde. LA survie de nos amis est menacée. Et pourtant, aucune guerre n'a été déclarée, aucune frontière n'a été franchie par des troupes en marche, aucun missile n'a été tiré.
Si la presse attend une déclaration de guerre avant d'imposer l'autodiscipline qui s'impose dans ces conditions, alors peut seulement dire qu'aucune guerre n'a jamais autant menacé notre sécurité. Si vous attendez une situation de "danger clair et actuel", alors je peux seulement dire que le danger n'a jamais été aussi clair et sa présence plus imminente.
Cela requiert un changement de perspective, un changement de tactique, un changement de missions, par le gouvernement, par le peuple, par tout homme d'affaire ou chef d'entreprise et par tout journaliste. Car nous sommes confrontés dans le monde à une conspiration monolithique et implacable qui repose essentiellement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d'influence (de l'infiltration plutôt que de l'invasion, de la subversion plutôt que des élections, de l'intimidation plutôt que du choix libre, des guérillas de nuit plutôt que des armées en plein jour).
C'est un système qui a mobilisé de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d'une machinerie très efficace et au maillage très serré qui combine opérations militaires, diplomatiques, de renseignement, économiques, scientifiques et politiques.
Ses plans sont dissimulés, non publiés. Ses erreurs sont cachées, non affichées. Ses dissidents sont réduits au silence, pas complimentés. Aucune dépense n'est mise en question, aucune rumeur n'est imprimée, aucun secret révélé. Il conduit la guerre froide, bref, avec une discipline de temps de guerre aucune démocratie ne pourrait jamais espérer ou désirer bien se porter.
Cependant, toute démocratie reconnait les restrictions nécessaires liées à la sécurité nationale ( et la question demeure de savoir si ces restrictions doivent être plus strictement observées si nous devons faire face à ce genre d'attaque et d' incontestable invasion.)
A vrai dire c'est un fait que les ennemis de cette nation se sont ouvertement vantés d'acquérir dans nos journaux les informations qu'ils auraient du obtenir dans le cas contraire en engageant des agents, par le vol, la corruption et l'espionnage; que les détails des plans secrets de cette nation pour contrer les opérations secrètes de l'ennemi ont été mis à la portée de chaque lecteur de journal, ami autant qu'ennemi; que les effectifs , la puissance, l'emplacement et la nature de nos forces et armes, et nos plans et stratégie pour leur utilisation ont tous été précisés dans la presse et autres médias à un degré suffisant pour satisfaire n'importe quelle puissance étrangère; Et que dans au moins un cas, la publication de détails concernant un mécanisme secret par lequel les satellites étaient suivis, a demandé son altération au prix de beaucoup de temps et d'argent.
Les journaux qui ont imprimés ces histoires étaient loyaux, patriotiques, responsables et de bonne volonté. Si nous avions été engagés dans une guerre ouverte, ils n’auraient sans aucun doute pas publiés ces faits. Mais en l'absence de guerre ouverte, ils ne reconnaissaient que les contrôles du journalisme et non ceux de la sécurité nationale. Et la question que je pose ce soir est de savoir si des contrôles additionnels ne devraient pas être adoptés maintenant.
A vous seuls d'y répondre. Aucun officiel ne devrait le faire à votre place. Aucun plan gouvernemental ne devrait imposer ses restrictions contre votre volonté. Mais je manquerais à mon devoir envers la nation, considérant toutes les responsabilités que nous assumons maintenant et tous les moyens dont nous disposons pour remplir ces responsabilités, si je n'attirais pas votre attention sur ce problème et ne conseillais vivement sa considération réfléchie.
En de nombreuses occasions auparavant, j'ai dit (et vos journaux ont constamment dit) que nous sommes en des temps qui font appel au sens du sacrifice et à l'autodiscipline de chaque citoyen. Ils demandent que chaque citoyen mette en balance ses droits et son confort avec ses obligations au bien commun. Je ne peux pas croire maintenant que ces citoyens qui travaillent dans le journalisme se considèrent non concernés par cet appel.
Je n'ai pas l'intention de mettre en place un nouveau bureau de l'information sur la guerre pour canaliser le flot des nouvelles. Je ne suggère pas de quelconque nouvelles formes de censure ou quelconque nouveau types de classification pour le secret. Je n'ai pas de réponse évidente au dilemme que j'ai soulevé, et ne chercherais pas à l'imposer si j'en avais une. Mais je demande aux membres de la profession journalistique et de l'industrie dans ce pays de réexaminer leurs propres responsabilités, de considérer le degré et la nature du danger présent, et de respecter le devoir d’auto-restriction que ce danger nous impose à tous.
Tout journal maintenant se demande, par rapport à chaque histoire: "S’agit-il de nouvelles informations?". Tout ce que je suggère est que vous ajoutiez la question: "Est ce dans l'intérêt de la sécurité nationale". Et j'espère que tout groupe en Amérique (associations et hommes d'affaire et officiels à tous niveaux) poseront la même question des efforts à accomplir, et soumettront leurs actions aux mêmes justes contrôles.
Et si la presse américaine considérait et recommandait la mise en place volontaire de nouveaux éléments spécifiques dans les rouages du gouvernement, je peux vous assurer que nous coopérerons de tout cœur et prendrons en considération ces recommandations.
Peut être n'y aura t'il pas de recommandations. Peut être n'y a t'il pas de réponse au dilemme auquel se trouve confrontée une société libre et ouverte dans une guerre froide et secrète. En temps de paix, toute discussion sur ce sujet, et toute action qui en résulte, sont à la fois douloureuses et inédites. Mais nous vivons un temps de paix et de péril tel qu'on n'en connu pas de précédent dans l'histoire.
C'est la nature sans précédent de ce défi qui aussi exige de vous de répondre à une deuxième obligation, une obligation que je partage. Et c'est celle d'informer et d'alerter le peuple américain, de s'assurer qu'il possède tous les éléments d'information nécessaires et qu'il les comprenne également (les périls, les perspectives, les objectifs, de notre programme et les choix qui se présentent à nous.)
Aucun président ne devrait craindre que le public ne scrute son programme. Car cet examen approfondi permet la compréhension. Et la compréhension autorise le soutien ou l'opposition. Les deux sont nécessaires. Je ne demande pas à vos journaux de soutenir l'administration mais je demande votre aide dans la tâche énorme d'informer et d'alerter le peuple américain. Car j'ai toute confiance en la réponse et le dévouement de nos citoyens dès qu'ils sont pleinement informés.
Non seulement je ne pourrais pas réprimer la controverse entre vos lecteurs, mais je dis qu'elle est la bienvenue. Cette administration a l'intention d'être franche concernant ses erreurs car comme un homme sage a dit un jour: "une erreur ne devient une faute que lorsqu'on refuse de la corriger". Nous avons l'intention de prendre la pleine responsabilité de nos erreurs. Et nous attendons de vous que vous les pointiez du doigt quand nous manquerons à cet engagement.
Sans débat, sans critique, aucune administration et aucun pays ne peuvent réussir, et aucune république ne peut survivre. C'est pourquoi selon le législateur Athénien décréta que c'était un crime qu'un citoyen se dérobe à la controverse. Et c'est pourquoi notre presse fut protégée par le premier amendement (le seul business en Amérique spécifiquement protégé par la constitution) pas en premier lieu pour amuser ou divertir, pas pour exacerber le trivial et le sentimental, pas pour simplement "donner au public ce qu'il veut", mais pour informer, stimuler, réfléchir, faire état des dangers et opportunités, montrer nos crises et nos choix pour mener, façonner, éduquer et parfois même provoquer la colère de l'opinion publique.
Cela signifie une plus vaste couverture et analyse des nouvelles internationales (car elle n'est plus lointaine et étrangère mais à portée de main et locale). Cela signifie une attention accrue à une compréhension améliorée des actualités autant qu'une meilleure transmission. Et cela signifie, enfin, que le gouvernement à tous les niveaux, doit remplir son obligation de vous fournir l'information la plus complète possible en dehors des limites les plus étroites de la sécurité nationale (et nous avons l'intention de le faire). C'est au tout début du 17ème siècle que Francis Bacon remarqua trois inventions récentes qui étaient déjà en train de transformer le monde: la boussole (compas?), la poudre à canon et la machine à imprimer. Maintenant le lien entre les nations qui a été d'abord accompli par la boussole a fait de nous tous des citoyens du monde les espoirs et les craintes d'un seul devenant les espoirs et les craintes de tous. Tandis que les efforts se poursuivent pour vivre ensemble dans ce monde unique, l'évolution de la poudre à canon jusqu'à ses limites ultimes a mis en garde l'humanité contre les terribles conséquences d'un dérapage.
C'est donc de la machine à imprimer (de la mémoire des actions des hommes, la gardienne de leurs consciences, la messagère de leurs nouvelles) que nous attendons de la force et de l'assistance, qu'elle nous donne confiance qu'avec votre aide l'homme sera ce pourquoi il est né: libre et indépendant."
Le discours historique, que dis-je, mythique, de JFK. Il n'auta pas eu le temps de mettre ses mots en actes: la réponse du... complot a été rapide et radicale .
Comme toujours.
Rien de tel qu'un bon vieux classique pour remettre les pendules à l'heure, non?
Il a pas pris une ride, d'ailleurs, ce discours.
Et comme tous les bons classiques, il est d'une actualité (d)étonnante... Complot?Il a bien dit "complot". Ben alors... John kennedy, l'américain le plus aimé des américains, le plus aimé des peuples de la terre, "Ich bin ein berliner", et tout... Complotiste? Ben merde...
Et si il avait raison?
C'est pas pour ça qu'ils l'ont négocié, d'ailleurs, les comploteurs?
Et pis, justement, tous ceux qu'ils voulait démasquer et qu'il a pas eu le temps de virer, ben, s'ça s'trouve...
Et là, le gars, le Kennedy, il parle de Big Pharma, de Big data, de Big Brother... Non, pas de Big Mike, ça c'est pas son dossier.
Ca ressemble aussi un peu à une coalition un peu mondiale, non?
Mais qu'est-ce qu'ils ont tous, à la fin?
Et pour finir (très provisoirement...)
Plus flippant: ça ressemble à Kennedy, c'est la voix de Kennedy, la tronche à Kennedy, mais c'est pas Kennedy, c'est de l'AI, de l'IA, comme tu voudras: du fake, pardon!, du faux, du bidon.
Ecouter et regarder le discours de Dallas que JFK n'a jamais pu prononcer
Permettre à John Fitzgerald Kennedy de dire, enfin, de vive voix « The Dallas Trade Mart », le seul et unique discours qui lui a échappé en raison de son assassinat quelques minutes avant. C'est la prouesse technologique et journalistique que nous offrent The Times et Rothco, son agence. Un bel hommage pour le centenaire de la naissance du 35ème président des Etats-Unis.
Commémorer une personnalité disparue même d’un temps pas si éloigné, exercice nécessaire et régulier pour les médias mais souvent sans grande surprise sur le fond et la forme. Pas pour The Times qui sort des standards à l’occasion du centenaire de la naissance de John Fitzgerald Kennedy, en offrant à ses abonnés un document totalement inédit. Et pour cause, conçu avec son agence Rothco (groupe Accenture Interactive) et intitulé « JFK Unsilenced », il fait dire haut et fort, au 35ème président des USA, « The Dallas Trade Mart », le speech qu’il n’a jamais pu prononcer à Dallas en raison de son assassinat juste quelques minutes avant. Un document exceptionnel de 22 minutes réalisé avec Cereproc spécialisée dans les nouvelles technologies et qui s’est appuyée exclusivement sur l’intelligence artificielle et des données audio. Recréant ainsi par analyse analogique, bride par bride, son par son la voix et les intonations de JFK.
Une copie sonore méticuleusement mixée ensuite finalisée en post prod par Screen Scene. Ce projet ambitieux mené sur plusieurs mois a nécessité notamment l’isolement de 41 phonèmes en langue américaine (c’est-à-dire les sons utilisés pour composer n’importe quel mot) et l’analyse de 831 discours et interviews du président US qui ont été rapprochés et mutualisés, grâce à l’utilisation de Deep Neural Networks. Une technologie développée pour aider les personnes atteintes de la maladie du motoneurone et qui malheureusement, perdront à terme leur voix. Ils peuvent désormais l’enregistrer au moment du diagnostic, de sorte qu’ils retrouveront leurs intonations sonores lorsqu’ils ne pourront plus s’exprimer qu’avec un ordinateur, un peu comme le professeur Stephen Hawking, tout juste disparu.
41 phonèmes, 831 discours ou interviews sur fond d'IA et de data
Un outil technologique facilitant les ajustements pour modéliser et harmoniser la voix et les bruits et la reconstitution au plus près d'une bande son empreinte de l’ambiance de l’époque. Donnant le sentiment bluffant et émouvant que le discours a été réellement énoncé par JFK lui-même. Lui permettant enfin, de délivrer plus de 50 ans après son décès, son message avec ses thèmes fétiches comme la liberté, le pouvoir, la sagesse, la tolérance comme cet extrait le démontre : « Nous, notre pays, notre génération, sommes -plus par le destin que par choix- les gardiens des murs de la liberté mondiale. Pour être dignes de ce pouvoir et de cette responsabilité, nous devons absolument nous demander comment exercer notre force avec sagesse et tolérance, afin de concrétiser pour aujourd’hui et l’avenir, le vœu pieux de l’humanité celui « de la paix sur la terre et de la fraternité entre tous les hommes » ».
Propos fort et visionnaire au moins pour l’intention finale, même si l’actuel président des USA est sur un autre registre. « Toujours apporter de nouveaux points de vue à une information est l’un de nos credo. Et encore plus quand il s’agit d’un contenu ou d’une actualité à propos desquels tout le monde croit déjà tout savoir », souligne Richard Oakley de The Times. Tandis qu’Alan Kelly, executive creative director chez Rothco raconte : « Quand nous nous sommes plongés dans les mots que JFK avait écrits pour le discours Trade Mart, nous avons trouvé qu'ils étaient non seulement poignants pour l'époque, mais d'une pertinence frappante aujourd'hui. En ramenant sa voix à la vie pour livrer ce discours, le message est encore plus puissant : « Nous ne pouvons pas nous attendre à ce que tout le monde, pour reprendre l'expression d'il y a dix ans, « parle de façon sensée ». Mais on peut espérer que la plupart s’éloigneront des idées reçues. Car dire que cette nation se dirige vers la défaite par le biais du déficit, ou que sa force n'est rien de plus qu'une question de slogans, n'est rien d'autre qu'un simple non-sens » ».
L'info au coeur de l'expérience technologique, journalistique et créative
Diffusée, depuis le 16 mars, sur son site, expliquée par un article et relayée via des extraits, des posts et des tweets sur les réseaux sociaux, en radio et en presse, la vidéo ainsi reconstituée est l’occasion pour le média de créer l’événement et de démontrer que le numérique et l’IA sont des atouts porteurs dans notre vie quotidienne. Car en remettant ainsi en scène cet homme politique iconique, The Times fait non seulement œuvre de journalisme vivant offrant un témoignage supplémentaire. Mais aussi de support indispensable grâce auquel les générations -notamment les nouvelles- peuvent se souvenir ou se repérer dans l’histoire plus ou moins contemporaine grâce à une bonne information et ainsi s’imprégner avec intelligence des valeurs du passé pour mieux gérer le présent et préparer l’avenir.
Une opération de contenu brillante, pensée aussi pour servir la marque média comme le détaille Patrick Hickey, Ceo de Rothco : « C’est notre rôle d’imaginer des idées (ré)créatives qui permettent aux enseignes de rayonner au niveau mondial. Le public est en quête de ce genre d’expérience et les marques comme The Times qui oseront, seront récompensées ». En attendant plongez-vous dans cette capsule audiovisuelle. C'est de la bonne info.
Quoique avec mon mauvais esprit légendaire, je me demande si c'est pas une petite manoeuvre pour nous faire oulblier LE discours de Dallas.
Celui qu'il a VRAIMENT prononcé, et qui toujours aussi pressant, criant d'actualité.
Celui pour lequel, justement, et selon un procédé éprouvé, on lui a fait -définitivement- fermer sa gueule.
La conclusion (« C’est notre rôle d’imaginer des idées (ré)créatives qui permettent aux enseignes de rayonner au niveau mondial. Le public est en quête de ce genre d’expérience et les marques comme The Times qui oseront, seront récompensées ») est au niveau du reste.
J'ai comme un peu la nausée. Mais bon,il paraît que je suis trop sensible.
Belle prouesse technologique, non? Finalement, qu'est-ce qu'on s'emmerde encore avec les humains? Ce paquet de viscères défaillant et râleur.
Alors que virtuellement, on fait ce qu'on veut, ce qu'on veut!
Pan! T'es mort, mais tu jactes encore.
Alors que bon, tant que t'es encore en vie t'as plutôt intérêt à la fermer, on va même t'aider, hein? Prison, censure, et la dernière trouvaille à la mode, tendance été-hiver 2020-2030: le masque, facial. Mais alors, bien ajusté, hein?