Le danger mortel des masques


mise à jour : 7 octobre - suppléments 


Masques cancérigènes

Taux de CO2 mortels, masques contaminés par des staphylococques... Mais c'est pas tout: le formaldéhyde, ça vous parle?




L'usage des masques est dangereux

29 Septembre2020

FRANCOIS DUCROCQ



https://www.youtube.com/watch?v=v_Cjet14e9M


Est-ce que la population n'est pas en train de se suicider collectivement avec un poison lent ?

 

L'usage du masque pouvait se justifier pendant une courte période d'épidémie entre mars et mai 2020 et une pénurie a été malheureusement à la fois voulue et organisée durant cette période.  Aujourd'hui, à l'opposé, le masque est devenu un instrument politique de contrainte. Ce revirement n'est pas seulement incompréhensible, il est porteur de conséquences sanitaires néfastes.  

Des réactions biochimiques se produisent dans les poumons avec le frein du masque, lors de l'inspiration et de l'expiration. Dans une atmosphère plus humide et davantage chargée en carbone, des composés tels que le formaldéhyde et autres COV apparaissent. Les seuils critiques sont dépassés en une dizaine de secondes.  

Masquer la population aujourd'hui, en septembre 2020, est non seulement anxiogène, mais est aussi porteur de risques sanitaires à long terme. Cette ambiance malsaine a, de surcroît,  des répercussions désastreuses sur l'activité économique qui repose d'abord sur la confiance. Et elle génère une surenchère sans limite dans des mesures sanitaires de plus en plus ridicules et dictatoriales.


Source:

https://www.youtube.com/watch?v=v_Cjet14e9M





Del Bigtree

Sur sa chaîne TV

HighWire



Le danger réel des masques

Test : niveau de CO2 dans les masques



(vidéo maison mis en en ligne samedi 18 juillet 2020)

Immédiatement censurée par youtube!


vidéo originale toujours  disponible:

https://www.youtube.com/watch?v=AITEnS4miH8



Transcription

del bigtree CO2.pdf

(Traduction de la video recopiée et revue par nos soins)



Voici mon fils Ever.

 Ever a 11 ans, et ici au Texas la loi en ce moment

est que les plus de 10 ans et plus doivent porter un

masque. Ever doit donc porter un masque partout où il va.

Nous avons donc acheté ça cette semaine: cela mesure le niveau de CO2

dans l'air. Regardez les chiffres (lecture de la notice - ndlr):


"Les niveaux de dioxyde de carbone et problèmes de santé potentiels sont indiqués ci-dessous:


- à partir de 250-300 ppm: niveau normal à l'air libre

- 350 à 1000 ppm: niveaux dans un lieu fermé bien ventilé

- 1000 à 2000 ppm: niveaux associés aux plaintes de somnolence, air de mauvaise qualité

- 2000 à 5000 ppm: niveaux associés aux maux de tête, l'envie de dormir, l'air stagnant, bloqué et pollué, faible concentration, perte d'attention, augmentation du rythme cardiaque, une nausée légère peut aussi apparaître

- Supérieur à 5000 ppm: condition inhabituelle de l'air où de hauts niveaux d'autres gaz peuvent être présents. Toxicité ou privation d'oxygène peuvent survenir."



Ce qui signifie: ne pas dépasser les 5000 ppm.

Allons-y:

On est maintenant à 848.



Je vais simplement insérer ceci juste en dessous, et essayer de garder serré là (autour du nez - ndlr).

Ok, respire naturellement et voyons ce qui se passe.



Bien, nous sommes à 1367. (quelques secondes- ndlr)


1367 ppm


Nous venons juste de dépasser 2000.


2372 ppm


3786 ppm


Nous sommes aux niveaux où il peut y avoir des maux de tête... 

Oh! 3786!

Regardez ça, on vient de dépasser 5000 ppm!

Maintenant nous sommes dans les niveaux toxiques.



7000! A l'intérieur de ce masque, le CO2... (il s'interromp - ndlr)

8000! parties par million (ppm)!


Et maintenant ça dépasse de l'échelle de mesure! (on voit 4 zéros, qui signifient que 10.000 pppm a été atteint - ndlr)


10 000 ppm


Il ne peut même pas mesurer tellement les niveaux de CO2 sont élevés à l'intérieur!

Et regardez: cela s'est passé en quelques secondes!


Juste au cas où vous pensiez que c'était un bon masque, un masque N95.

Juste avant l'émission, nous avons testé différentes choses que vous pourriez mettre à votre enfant. 


Regardez ça:



1. Masque chirugical

2. Ecran plastique transparent

3. Bandana



1. Le masque chirugical

Les niveaux montent rapidement, et atteignent également 10.000 en quelques secondes.



2. Le bouclier plastique transparent ("écran facial en plastique" souple)

Les niveaux montent moins vite, mais atteignent rapidement des chiffres (1500, 2000ppm incompatibles avec une oxygénation correcte



"...clairement pas autant que porter un masque mais n'êtes-vous pas choqué que cela aie le même effet?"

"...et ça continue de monter!"




3. Le bandana

Comme avec les deux premiers masques, les niveaux montent également rapidement, et atteignent également 10.000 en quelques seconde passant de 2000 à 4000 en quelques secondes, continuant à monter rapidement.




"Au centre de tout cela, il y a les enfants.

Je pense que c'est le sujet majeur.



Nos enfants vont-ils devoir porter ceci à la à l'école?

Je vois des bébés dans des poussettes porter des masques!

Comment est-ce que cela peut être sans danger quand il y a plus de 10.000 ppm de CO2?!


Est-ce que vous avez entendu de la part du gouvernement que cela endommage le développement du cerveau de votre enfant?"



Document PDF N&Bl à télécharger

(réalisé par nos soins)

del bigtree CO2.pdf


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Divers documents


Conséquences du port du masque prolongé

C’est une conséquence inattendue du coronavirus. Les médecins de Wuhan, épicentre de l’épidémie, ont leur visage ravagé à force de porter des masques pour se protéger des malades hospitalisés.

Le port prolongé des protections facilite l’apparition de cloques, plaies et croûtes. En attestent les nombreuses photos diffusées sur les réseaux sociaux chinois.

https://www.cnews.fr/monde/2020-02-...


Un masque FFP est un appareil de protection respiratoire (norme NF EN 149). Il est destiné à protéger celui qui le porte à la fois contre l’inhalation de gouttelettes et des particules en suspension dans l’air, qui pourraient contenir des agents infectieux.

Le port de ce type de masque est plus contraignant (inconfort thermique, résistance respiratoire) que celui d’un masque chirurgical.

http://www.inrs.fr/risques/biologiq...


Résistance respiratoire et effets sur la santé

Le dioxyde de carbone, ou gaz carbonique, n’est pas considéré dans la loi française comme un polluant. Pourtant, si nous prenons la définition de ce qu’est une pollution (article L220-2 du Code de l’Environnement), force est de constater que le CO2 en possède les caractéristiques.

L’air contient aujourd’hui environ 0,04 % de CO2. À partir d’une certaine concentration dans l’air, ce gaz s’avère dangereux voire mortel. La valeur limite d’exposition est de 3 % sur une durée de 15 minutes. Cette valeur ne doit jamais être dépassée. Au-delà, les effets sur la santé sont d’autant plus graves que la teneur en CO2 augmente. Ainsi, à 2 % de CO2 dans l’air, l’amplitude respiratoire
augmente. À 4 %, la fréquence respiratoire s’accélère. À 10 %, peuvent apparaître des troubles visuels, des tremblements et des sueurs. À 15 %, c’est la perte de connaissance brutale. À 25 %, un arrêt respiratoire entraîne le décès.

https://www.respire-asso.org/dioxyd...
https://www.cchst.ca/oshanswers/che...



La conséquence de l’insuffisance respiratoire est une mauvaise oxygénation du sang, elle se manifeste par un essoufflement, des difficultés à respirer et une grande fatigue.


Différence hypoxie et hypoxémie

Bien que les deux termes soient souvent employés l’un pour l’autre, ils désignent deux situations différentes. « L’hypoxémie se produit lorsque la pression partielle de l’oxygène dans le sang (PaO2) est en dessous de normale (la valeur normale est entre 80 et 100 mm Hg). Une hypoxémie non corrigée conduit à une hypoxie »
Hypoxie : quels sont les signes ?

L’hypoxie est un terme médical utilisé pour désigner un manque d’apport en oxygène au niveau des tissus de l’organisme. L’hypoxie nécessite une prise en charge médicale adéquate pour éviter la survenue de complications graves.


Définition

L’apport d’oxygène au corps humain est assuré par la respiration. L’oxygène respiré transite par les poumons où ils passent dans le sang se fixant à hémoglobine des globules rouges, qui le transporteur d’oxygène vers les tissus.

Dans ce cadre, l’hypoxie désigne une diminution de la quantité d’oxygène apportée aux organes par le sang. « Elle est une conséquence de l’hypoxémie qui est la diminution de la quantité d’oxygène transportée par les globules rouges dans le sang, précise le Dr Nicolas Devos, anesthésiste réanimateur.

L’oxygénation des organes et des tissus est alors insuffisante, et il peut en résulter une souffrance des cellules constituant les organes atteints. »

Selon leur origine, on peut parler notamment :

d’hypoxie tissulaire, qui désigne un apport insuffisant en oxygène par rapport aux besoins des tissus de l’organisme. L’hypoxie tissulaire ne se voit pas directement, on en constate les conséquences lorsque l’escarre apparaît.
d’hypoxie cérébrale est une forme d’hypoxie (un apport réduit en oxygène), impliquant spécifiquement le cerveau. Quand le cerveau est complètement privé d’oxygène, le terme utilisé est plutôt l’anoxie cérébrale.


Causes

Les causes de l’hypoxie peuvent être de trois types :

diminution d’apport en oxygène (hypoxie d’altitude par exemple)
défaillance de la fonction respiratoire (infection pulmonaire, traumatisme thoracique etc.)
diminution du transport en oxygène dans le sens par les globules rouges (maladie des globules rouges comme les thalassémie par exemple ou beaucoup plus simplement l’anémie)


Symptômes

Les symptômes d’une hypoxie sont généralement :

une tachycardie : meilleur signe clinique de l’hypoxie
une hyperventilation par augmentation du travail ventilatoire
une cyanose : la peau prend une teinte bleutée
une syncope : Perte complète de connaissance soudaine ou brève (jusqu’à trente minutes environ)

Une hypoxie sévère peut plonger une personne dans le coma, voire entraîner la mort si elle n’est pas prise en charge efficacement par arrêt cardio-circulatoire.

L’insuffisance respiratoire résulte d’une mauvaise oxygénation du sang, et se manifeste par un essoufflement, des difficultés à respirer et une grande fatigue. L’insuffisance respiratoire correspond donc à une incapacité du système respiratoire à apporter suffisamment d’oxygène et à éliminer correctement le gaz carbonique.





video censurée par youtube sur notre chaine

Le danger mortel des masques

par le Dr Russell Blaylock


Reseau international




« En portant un masque, les virus exhalés ne pourront pas s’échapper et se concentreront dans les voies nasales, pénétreront dans les nerfs olfactifs et voyageront dans le cerveau. »

« Les chercheurs ont constaté qu’environ un tiers des travailleurs ont développé des maux de tête avec l’utilisation du masque, la plupart avaient des maux de tête préexistants qui ont été aggravés par le port du masque, et 60% avaient besoin de médicaments contre la douleur pour le soulager. 

En ce qui concerne la cause des maux de tête, alors que les sangles et la pression du masque peuvent être causales, la majeure partie des preuves indique l’hypoxie et/ou l’hypercapnie comme cause. C’est-à-dire une réduction de l’oxygénation du sang (hypoxie) ou une élévation du C02 sanguin (hypercapnie).»

« On sait que le masque N95, s’il est porté pendant des heures, peut réduire l’oxygénation du sang jusqu’à 20%, ce qui peut entraîner une perte de conscience, comme cela est arrivé au malheureux conduisant seul dans sa voiture portant un masque N95, le faisant s’évanouir, écraser sa voiture et subir des blessures. Je suis sûr que nous avons plusieurs cas de personnes
âgées ou de toute personne ayant une mauvaise fonction pulmonaire qui s’évanouissent, tombent et se blessent à la tête. Bien sûr, cela peut entraîner la mort. »


Mask N95

« Une étude plus récente portant sur 159 professionnels de la santé âgés de 21 à 35 ans a révélé que 81 % d’entre eux avaient développé des céphalées en portant un masque facial. 

Certains avaient des maux de tête préexistants par concentrations les plus élevées de virus. Et cela conduit à une tempête mortelle de cytokines chez un certain nombre de patients sélectionnés. »

« Cela devient encore plus effrayant. De nouvelles preuves suggèrent que dans certains cas, le virus peut pénétrer dans le cerveau. Dans la plupart des cas, il pénètre dans le cerveau par les nerfs olfactifs, qui se connectent
directement à la zone du cerveau traitant de la mémoire récente et de la consolidation de la mémoire.

En portant un masque, les virus exhalés ne pourront pas s’échapper et se concentreront dans les voies nasales, pénétreront dans les nerfs olfactifs et
voyageront dans le cerveau. »


« Malheureusement, personne ne parle aux personnes âgées fragiles et aux personnes souffrant de maladies pulmonaires, telles que la MPOC (Maladie Pulmonaire Obstructive Chronique), l’emphysème ou la fibrose pulmonaire, de ces dangers lorsqu’ils portent un masque facial de quelque sorte que ce soit, ce qui peut entraîner une grave détérioration de la fonction pulmonaire. 

Cela inclut également les patients atteints de cancer du poumon et les personnes ayant subi une chirurgie pulmonaire, en particulier avec une résection partielle ou même l’ablation d’un poumon entier. »


« L’importance de ces résultats est qu’une baisse des niveaux d’oxygène (hypoxie) est  associée à une altération de l’immunité. (…)

Cela prépare le terrain pour contracter toute infection, y compris celle du COVID-19 et rendre les conséquences de cette infection beaucoup plus graves. 


En substance, votre masque peut très bien vous exposer à un risque accru d’infections et, si cela advient, avoir un résultat bien pire. »


« Les personnes atteintes de cancer, en particulier si le cancer s’est propagé, seront exposées à un risque supplémentaire d’hypoxie prolongée (...) »

« Il y a un autre danger à porter ces masques au quotidien, surtout s’ils sont portés pendant plusieurs heures. 

Lorsqu’une personne est infectée par un virus respiratoire, elle expulse une partie du virus à chaque respiration. Si elle porte un masque, en particulier un masque N95 ou un autre masque bien ajusté, elle réinsufflera constamment les virus, augmentant la concentration du virus dans les poumons et les voies nasales… »


source:https://fr.sott.net/article/35635-Le-danger-mortel-des-masques-par-le-Dr-Russell-Blaylock


POURQUOI JE NE PORTE PAS DE MASQUE ?

5 juin 2020      Fabien Moine - Exuvie TV    


https://www.youtube.com/watch?v=yTuX9II2upA


« Il n'existe aucune preuve que le port d'un masque par des personnes en bonne santé puisse empêcher d'être infecté par des virus respiratoires », exprime l'OMS.

Etude de l'institut national de la santé du Québec : 

https://www.inspq.qc.ca/sites/default...

J'ai décidé de ne pas porter de masque depuis le départ de cette crise sanitaire. Suis-je irresponsable, égoïste, inconscient, fou ou criminel? Ou alors cela repose-t-il sur des données des connaissances et des données tangibles et valables?  




Prof. Denis Rancourt

Les masques et les "gestes barrières" sont inutiles

Sortie le 30 mai 2020


https://www.youtube.com/watch?v=Fvp6uah-2hY&t=309s


1. Quand on parle de gouttelettes projetées en parlant ou en toussant, les gens pensent à celles qu’ils voient dans l’air et qui se déposent en une ou deux secondes sur des surfaces ou des objets qu’on devrait nettoyer aussitôt.

En fait, les gouttelettes qu’on ne voit pas parce qu’elles sont inférieures à 50 microns sont beaucoup plus nombreuses. Leur nombre par litre d’air augmente rapidement avec leur petitesse. 


2. Cela prend 8 minutes à une gouttelette de 10 microns pour tomber d’un mètre et demi dans un air parfaitement calme. Une gouttelette de 50 microns ou plus petite parcoure facilement une distance de 2 m et plus durant ce temps dans un air calme.

Lorsqu’elle a une vitesse relative de 2 m/s par rapport à l’air ambiant, cette vitesse tombe à zéro en 628 microns donc en nettement moins de 1 mm. À partir de là, elle suit les moindres courants d’air. Pour les gouttelettes plus petites, c’est plus rapide parce qu’elles ont moins d’inertie. 


3. Les flots et les turbulences de l’air présents maintiendront les fines gouttelettes en suspension dans l’air beaucoup plus longtemps. Seules les plus lourdes se déposeront par impaction sur les surfaces. Les autres tendront à suivre les moindres courants d’air et à contourner ainsi les obstacles, gros ou petits, de la même façon que les microgouttelettes de peinture aérosolisée, par exemple, contournent les particules de charbon activé dans les masques à cartouches. Le charbon capte les vapeurs. Une bonne partie des microgouttelettes inférieures à 0,5 micron seront captées dans l’épaisseur du tissu d’un masque ou d’une cartouche grâce aux propriétés électrostatiques des fibres de tissu. 

4. Les microgouttelettes de salive s’évaporent très rapidement même dans l’air humide, ce qui libère rapidement les virus et bactéries qu’elles contiennent. C’est une question de tension superficielle et d’agitation moléculaire. Les virus libérés circulent dans l’air jusqu’à ce qu’ils soient ramassés par une particule plus grosse et plus pesante, comme une petite poussière en suspension dans l’air. Les virus n’ont pas assez d’inertie pour impacter une surface ou une particule immobile mais ils peuvent croiser une particule qui se promène aléatoirement selon le mouvement brownien dans le même petit courant d’air.    

                       



ATTENTION : ResearchGate a censuré l'article de Denis Rancourt. Voir ses explications ici : https://archive.org/details/covid-cen...


Résumé : Les recommandations des agences de santé pour limiter la propagation du Covid sont dénuées de tout fondement scientifique et ignorent le consensus qui ressort de la littérature scientifique pertinente : les masques sont inefficaces pour empêcher les épidémies d'infections virales respiratoires.

C'est logique car le vecteur de transmission principal des maladies virales respiratoires, ce sont les particules aérosols contaminées de très petite taille en suspension dans l'air, que les masques qu'ils soient chirurgicaux ou FFP2 sont incapables de filtrer.

C'est pourquoi les masques mais aussi les gestes barrières (distanciation sociale, lavage fréquent des mains et masques dans les transports publics par exemple) sont des mesures "sanitaires" complètement inutiles.

En revanche, l'acceptation sociale du port du masque par une grande partie des citoyens est un véritable signal d'alarme sur la faiblesse de nos démocraties et le manque de culture scientifique de la population.

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Sources :
• L’article de Denis Rancourt : Masks Don't Work: A review of science relevant to COVID-19 social policy : https://vixra.org/pdf/2006.0044v1.pdf


 Sortir de la peur irrationnelle qui affaiblit le système immunitaire. Se détacher des nouvelles et observer que : Je suis vivante, je respire,je mange...etc;;.toutes des affirmations qui sont objectives. Ancrer les pieds dans le sol, etc..il  y aune liste de tout ce qu'on peut faire avec cette peur irrationnelle; S'informer avec des videos comme celle-ci et si on décide de garder le masque, c'est de prendre cette décision pas nous-mêmes.. Unissons nos voix,  partageons, soutenons-nous mutuellement. Entr'aidons-nous. Créons de nouvelles relations pour ouvrir nos horizons... Sortons de nos individualismes;..ET RIONS pour produire des endorphines , mettons en mouvement la pharmacie de notre corps.    

                     


La science conclut : 

Les masques n’empêchent PAS la transmission des virus

dimanche 12 juillet 2020


Les masques - y compris les masques de protection anti-particules - ne fonctionnent pas. Des études approfondies d’essais contrôlés randomisés (ECR) et des méta-analyses d’études d’ECR ont montré que les masques ne fonctionnent pas pour prévenir les maladies respiratoires de type grippal, ou les maladies respiratoires que l’on pense être transmises par des gouttelettes et des particules d’aérosol.


Commentaire : Cette revue de la littérature médicale concernant le port de masques chirurgicaux et autres dispositifs de protection faciale dans le but de prévenir la transmission du SARS-CoV-2 et donc la contamination par le « Covid-19 » a été publiée en avril dernier. À moins de faire fi de décennies de découvertes scientifiques et de données irréfutables sur la transmission des virus, on peut dire que l’affaire est classée.


En outre, les données physiques et biologiques pertinentes que j’ai examinées sont telles que les masques ne devraient pas fonctionner. Il serait paradoxal que les masques fonctionnent, compte tenu de ce que nous savons sur les maladies respiratoires virales : La principale voie de transmission est celle des particules d’aérosols à long temps de séjour (< 2,5 μm), qui sont trop fines pour être bloquées, et la dose infectieuse minimale est inférieure à une particule d’aérosol.


Le présent document sur les masques illustre la mesure dans laquelle les gouvernements, les médias grand public et les propagandistes institutionnels peuvent décider d’opérer dans le vide scientifique ou de ne sélectionner que des données scientifiques incomplètes qui servent leurs intérêts. Une telle insouciance est certainement aussi le cas avec l’actuel confinement mondial de plus d’un milliard de personnes, une expérience sans précédent dans l’histoire médicale et politique.



Revue de la littérature médicale


Voici les principaux points d’ancrage de la vaste littérature scientifique qui établit que le port de masques chirurgicaux et de masques de protection anti-particules (par exemple, "N95") ne réduit pas le risque de contracter une maladie avérée :


Jacobs, J. L. et al (2009) "Use of surgical face masks to reduce the incidence of the common cold among health care workers in Japan" : A randomized controlled trial", American Journal of Infection Control, volume 37, numéro 5, 417 - 419. "Les travailleurs de la santé masqués de N95 étaient nettement plus susceptibles d’éprouver des maux de tête. Il n’a pas été démontré que l’utilisation de masques faciaux chez les travailleurs de la santé présentait des avantages en termes de symptômes de rhume ou de refroidissement."

Cowling, B. et al (2010) "Face masks to prevent transmission of influenza virus : A systematic review", Epidemiology and Infection, 138(4), 449-456. doi:10.1017/S0950268809991658 Aucune des études examinées n’a montré un bénéfice du port d’un masque, que ce soit chez les travailleurs de la santé ou les membres de la communauté dans les ménages (H). Voir les tableaux récapitulatifs 1 et 2.

bin-Reza et al (2012) "The use of masks and respirators to prevent transmission of influenza : a systematic review of the scientific evidence", Influenza and Other Respiratory Viruses 6(4), 257-267. "Il y a eu 17 études admissibles. [...] Aucune des études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation de masques⁄masques de protection et la protection contre l’infection par le virus influenza".

Smith, J.D. et al. (2016) "Efficacité des masques de protection N95 par rapport aux masques chirurgicaux pour protéger les travailleurs de la santé contre les infections respiratoires aiguës : revue systématique et méta-analyse", CMAJ mars 2016, cmaj.150835 ; DOI : 10.1503/cmaj.150835 "Nous avons identifié 6 études cliniques ... Dans la méta-analyse des études cliniques, nous n’avons trouvé aucune différence significative entre les masques de protection N95 et les masques chirurgicaux en ce qui concerne le risque associé (a) d’infection respiratoire confirmée en laboratoire, (b) de maladie de type grippal, ou (c) d’absentéisme au travail déclaré".

Offeddu, V. et al (2017) "Efficacité des masques contre les infections respiratoires chez les travailleurs de la santé : A Systematic Review and Meta-Analysis", Clinical Infectious Diseases, Volume 65, Issue 11, 1 December 2017, Pages 1934-1942, https://doi.org/10.1093/cid/cix681 "L’évaluation autodéclarée des résultats cliniques était sujette à des biais. La preuve d’un effet protecteur des masques contre une infection respiratoire vérifiée (IRM) n’était pas statistiquement significative" ; selon la figure 2c de ce document :



masks studies viruses

Clinical Infectious Diseases (Maladies infectieuses cliniques), Volume 65, numéro 11, 1er décembre 2017, Pages 1934–1942, https://doi.org/10.1093/cid/cix681

Radonovich, L.J. et al. (2019) « N95 Respirators vs Medical Masks for Preventing Influenza Among Health Care Personnel : A Randomized Clinical Trial », JAMA. 2019 ; 322(9) : 824-833. doi:10.1001/jama.2019.11645 « Parmi les 2862 participants randomisés, 2371 ont terminé l’étude et ont représenté 5180 saisons de travail. ... Parmi le personnel de santé ambulatoire, les masques de protection anti-particules N95 par rapport aux masques médicaux tels que portés par les participants à cet essai n’ont entraîné aucune différence significative dans l’incidence de la grippe confirmée en laboratoire ».

Long, Y. et al (2020) « Effectiveness of N95 respirators versus surgical masks against influenza : A systematic review and meta-analysis », J Evid Based Med. 2020 ; 1- 9. https://doi.org/10.1111/jebm.12381 « Au total, six ECR impliquant 9 171 participants ont été inclus. Aucune différence statistiquement significative n’a été constatée dans la prévention de la grippe confirmée en laboratoire, des infections virales respiratoires confirmées en laboratoire, des infections respiratoires confirmées en laboratoire et des affections de type grippal à l’aide de masques N95 et de masques chirurgicaux. La méta-analyse a indiqué un effet protecteur des masques N95 contre la colonisation bactérienne confirmée en laboratoire (RR = 0,58, 95 % IC 0,43-0,78). L’utilisation d’appareils respiratoires N95 par rapport aux masques chirurgicaux n’est pas associée à un risque moindre de grippe confirmée en laboratoire ».



Conclusion concernant les masques qui ne fonctionnent pas


Aucune étude RCT dont les résultats ont été vérifiés ne montre que le port d’un masque est bénéfique pour les travailleurs de la santé ou les membres de la communauté dans les ménages. Il n’existe aucune étude de ce type. Il n’y a aucune exception. De même, il n’existe aucune étude qui montre un bénéfice d’une politique générale de port de masques en public (plus d’informations à ce sujet ci-dessous).


De plus, s’il y avait un avantage à porter un masque, en raison de son pouvoir de blocage contre les gouttelettes et les particules d’aérosol, le port d’un masque de protection anti-particules (N95) devrait être plus avantageux que celui d’un masque chirurgical. Pourtant, plusieurs grandes méta-analyses, et tous les ECR, prouvent qu’il n’y a pas un tel avantage relatif. Les masques ne fonctionnent pas.



Le principe de précaution tourné sur la tête avec les masques


À la lumière de la recherche médicale, il est donc difficile de comprendre pourquoi les autorités de santé publique n’appliquent pas systématiquement ces résultats scientifiques bien établis, étant donné que les dommages psychologiques, économiques et environnementaux répartis résultant d’une recommandation générale de porter des masques sont importants, sans parler des dommages potentiels inconnus dus à la concentration et à la distribution des agents pathogènes sur et à partir des masques utilisés.


Dans ce cas, les autorités publiques iraient à l’encontre du principe de précaution (voir ci-dessous).



Physique et biologie des maladies respiratoires virales, et pourquoi les masques ne fonctionnent pas


Afin de comprendre pourquoi les masques ne peuvent pas fonctionner, nous devons revoir les connaissances établies sur les maladies respiratoires virales, le mécanisme de variation saisonnière de la surmortalité due à la pneumonie et à la grippe, le mécanisme de transmission des maladies infectieuses par aérosol, la physique et la chimie des aérosols et le mécanisme de la dose infectieuse minimale.


Outre les pandémies qui peuvent survenir à tout moment, les latitudes tempérées connaissent un surcroît de mortalité due à des maladies respiratoires qui est saisonnier et qui est causé par des virus. Voir, par exemple, l’étude de Paules et Subbarao sur la grippe (2017). Ce phénomène est connu depuis longtemps et le schéma saisonnier est extrêmement régulier.


Par exemple, voir la figure 1 de Viboud (2010), qui présente une « série chronologique hebdomadaire du rapport entre le nombre de décès dus à la pneumonie et à la grippe et le nombre total de décès, basée sur la surveillance de 122 villes aux États-Unis (ligne bleue) ». La ligne rouge représente le ratio de base attendu en l’absence d’activité grippale", ici :



mortality rate chart

Le caractère saisonnier du phénomène n’a été largement compris qu’il y a une décennie. Jusqu’à récemment, on se demandait si le phénomène était principalement dû à un changement saisonnier de la virulence des agents pathogènes ou à un changement saisonnier de la sensibilité de l’hôte (par exemple, un air sec provoquant une irritation des tissus ou une diminution de la lumière du jour provoquant une carence en vitamines ou un stress hormonal). Voir, par exemple, Dowell (2001).


Dans une étude qui fait date, Shaman et al. (2010) ont montré que le schéma saisonnier de la mortalité due aux maladies extra respiratoires peut être expliqué quantitativement sur la seule base de l’humidité absolue et de son impact direct sur la transmission des agents pathogènes dans l’air.


Lowen et ses collègues (2007) ont démontré le phénomène de virulence des virus aériens dépendant de l’humidité dans la transmission réelle de maladies entre cobayes, et ont examiné les mécanismes sous-jacents potentiels de l’effet de contrôle mesuré de l’humidité.


Le mécanisme sous-jacent est que les particules ou gouttelettes d’aérosol chargées d’agents pathogènes sont neutralisées au cours d’une demi-vie qui diminue de manière monotone et significative avec l’augmentation de l’humidité ambiante. Ce mécanisme est basé sur les travaux fondateurs de Harper (1961). Harper a montré expérimentalement que les gouttelettes porteuses de virus et d’agents pathogènes étaient inactivées dans des délais de plus en plus courts, à mesure que l’humidité ambiante augmentait.


Harper a soutenu que les virus eux-mêmes étaient rendus inopérants par l’humidité (« décomposition viable »), mais il a admis que l’effet pouvait être dû à l’élimination physique ou à la sédimentation des gouttelettes par l’humidité (« perte physique ») : « Les viabilités des aérosols rapportées dans cet article sont basées sur le rapport entre le titre du virus et la numération radioactive dans les échantillons de suspension et de nuages, et peuvent être critiquées au motif que les matériaux de test et de traçage n’étaient pas physiquement identiques ».


Ce dernier point (« perte physique ») me semble plus plausible, puisque l’humidité aurait un effet physique universel de provoquer la croissance et la sédimentation des particules/gouttelettes, et que tous les agents pathogènes viraux testés ont essentiellement la même « décomposition » due à l’humidité. En outre, il est difficile de comprendre comment un virion (de tous les types de virus) dans une gouttelette serait attaqué ou endommagé au niveau moléculaire ou structurel par une augmentation de l’humidité ambiante. Un « virion » est la forme complète et infectieuse d’un virus en dehors d’une cellule hôte, avec un noyau d’ARN ou d’ADN et une capside. Le mécanisme réel de cette « décomposition viable » d’un virion par l’humidité à l’intérieur d’une gouttelette n’a pas été expliqué ni étudié.


En tout état de cause, l’explication et le modèle de Shaman et al. (2010) ne dépendent pas du mécanisme particulier de la décomposition des virions en aérosol/gouttelettes par l’humidité. Le modèle d’épidémiologie virale régionale saisonnière quantitativement démontré par Shaman est valable pour l’un ou l’autre mécanisme (ou combinaison de mécanismes), que ce soit la « décroissance viable » ou la « perte physique ».


La percée réalisée par Shaman et al. n’est pas seulement un point académique. Elle a plutôt de profondes implications en matière de politique de santé, qui ont été entièrement ignorées ou négligées dans la pandémie actuelle de coronavirus.


En particulier, le travail de Shaman implique nécessairement que, plutôt que d’être un nombre fixe (dépendant uniquement de la structure spatio-temporelle des interactions sociales dans une population totalement sensible, et de la souche virale), le nombre de reproduction de base de l’épidémie (R0) est fortement ou principalement dépendant de l’humidité absolue ambiante.


Pour une définition du R0, voir HealthKnowlege-UK (2020) : R0 est « le nombre moyen d’infections secondaires produites par un cas typique d’infection dans une population où tout le monde est sensible ». Le R0 moyen pour la grippe serait de 1,28 (1,19-1,37) ; voir l’étude exhaustive de Biggerstaff et al. (2014).


En fait, Shaman et al. ont montré que le R0 doit être compris comme variant selon les saisons entre des valeurs d’été humide à peine supérieures à « 1 » et des valeurs d’hiver sec généralement aussi élevées que « 4 » (voir par exemple leur tableau 2). En d’autres termes, les maladies respiratoires virales infectieuses saisonnières qui sévissent chaque année sous les latitudes tempérées passent d’une contagiosité intrinsèquement légère à une contagiosité virulente, simplement en raison du mode de transmission biophysique contrôlé par l’humidité atmosphérique, indépendamment de toute autre considération.


Par conséquent, toute la modélisation mathématique épidémiologique des avantages des politiques médiatrices (telles que la distanciation sociale), qui suppose des valeurs de R0 indépendantes de l’humidité, a une grande probabilité d’être de peu de valeur, sur cette seule base. Pour des études sur la modélisation et sur les effets de la médiation sur le nombre effectif de reproduction, voir Coburn (2009) et Tracht (2010).


Pour faire simple, la « deuxième vague » d’une épidémie n’est pas une conséquence du péché humain concernant le port de masque et la poignée de main. Il s’agit plutôt d’une conséquence inévitable d’une forte augmentation de la contagiosité de la maladie, due à la sécheresse de l’air, dans une population qui n’a pas encore atteint l’immunité.


Si mon point de vue sur le mécanisme est correct (c’est-à-dire la « perte physique »), alors le travail du Shaman implique nécessairement que la haute transmissibilité due à la sécheresse (grand R0) provient de petites particules d’aérosol en suspension dans l’air ; par opposition aux grosses gouttelettes qui sont rapidement éliminées de l’air par gravité.


Ces petites particules d’aérosol en suspension dans l’air, d’origine biologique, sont de tout type et sont partout, y compris jusqu’à la taille d’un virion (Despres, 2012). Il n’est pas totalement improbable que des virus puissent ainsi être physiquement transportés sur des distances intercontinentales (par exemple, Hammond, 1989).


Plus précisément, il a été démontré que les concentrations de virus dans l’air intérieur (dans les garderies, les centres de santé et à bord des avions) existent principalement sous forme de particules d’aérosol de diamètre inférieur à 2,5 μm, comme dans les travaux de Yang et al. (2011) :


« La moitié des 16 échantillons étaient positifs, et leurs concentrations totales en virus variaient de 5800 à 37 000 copies du génome m-3. En moyenne, 64 % des copies du génome viral étaient associées à des particules fines de moins de 2,5 µm, qui peuvent rester en suspension pendant des heures. La modélisation des concentrations de virus à l’intérieur a suggéré une force de source de 1,6 ± 1,2 × 105 copies du génome m-3 air h-1 et un flux de dépôt sur les surfaces de 13 ± 7 copies du génome m-2 h-1 par mouvement brownien. Sur une heure, la dose d’inhalation a été estimée à 30 ± 18 dose infectieuse médiane en culture tissulaire (TCID50), suffisante pour induire l’infection. Ces résultats apportent un soutien quantitatif à l’idée que la voie aérosol pourrait être un mode important de transmission de la grippe ».


Ces petites particules (< 2,5 μm) font partie de la fluidité de l’air, ne sont pas soumises à la sédimentation gravitationnelle et ne seraient pas arrêtées par un impact inertiel à longue distance. Cela signifie que le moindre défaut d’ajustement facial (même momentané) d’un masque (chirurgical) ou d’un masque anti-particules rend la norme de filtration du masque tout à fait inappropriée. En tout état de cause, le matériau de filtration lui-même de N95 (taille moyenne des pores 0,3-0,5 μm) ne bloque pas la pénétration du virion, sans parler des masques chirurgicaux. Par exemple, voir Balazy et al. (2006).


Le manque d’efficacité du masque et l’inhalation par l’hôte ne représentent cependant que la moitié de l’équation, car il faut également tenir compte de la dose infectieuse minimale (DIM). Par exemple, si un grand nombre de particules chargées d’agents pathogènes doivent être délivrées au poumon dans un certain délai pour que la maladie s’installe, alors un blocage partiel par un masque ou un tissu peut suffire à faire une différence significative.


D’autre part, si la MID est largement dépassée par les virions transportés dans une seule particule d’aérosol capable d’échapper à la capture par le masque, alors le masque n’a aucune utilité pratique, ce qui est le cas.


Yezli et Otter (2011), dans leur examen de la MID, soulignent les caractéristiques pertinentes :


la plupart des virus respiratoires sont aussi infectieux chez l’homme que dans les cultures de tissus ayant une sensibilité optimale en laboratoire

on pense qu’un seul virion peut suffire à induire une maladie chez l’hôte

la MID à 50 % de probabilité (« TCID50 ») se situe, de façon variable, entre 100 et 1000 virions

il y a généralement 103-107 virions par gouttelette de grippe aérolisée de diamètre 1 μm - 10 μm

la MID à 50 % de probabilité s’insère facilement dans une seule (une) gouttelette aérolisée



Pour en savoir plus :


Haas (1993) fournit une description classique de l’évaluation dose-réponse.

Zwart et al. (2009) ont fourni la première preuve en laboratoire, dans un système virus-insecte, que l’action d’un seul virion peut être suffisante pour provoquer une maladie.

Baccam et al. (2006) ont calculé, à partir de données empiriques, qu’avec la grippe A chez l’homme, « nous estimons qu’après un délai de 6 h, les cellules infectées commencent à produire le virus de la grippe et continuent à le faire pendant 5 h. La durée de vie moyenne des cellules infectées est de 11 h, et la demi-vie du virus infectieux libre est de 3 h. Nous avons calculé le nombre de reproduction de base [dans le corps], R0, qui indique qu’une seule cellule infectée peut produire 22 nouvelles infections productives ».

Brooke et al. (2013) ont montré que, contrairement aux hypothèses de modélisation précédentes, bien que toutes les cellules infectées par le virus de la grippe A dans le corps humain ne produisent pas une progéniture infectieuse (virions), néanmoins, 90 % des cellules infectées sont significativement affectées, plutôt que de simplement survivre indemnes.


Tout cela pour dire que : si quelque chose passe (et c’est toujours le cas, quel que soit le masque), alors vous allez être infecté. Les masques ne peuvent pas fonctionner. Il n’est donc pas surprenant qu’aucune étude impartiale n’ait jamais trouvé un avantage au port d’un masque dans cette application.


Par conséquent, les études qui montrent la capacité de barrière partielle des masques, ou qui montrent que les masques peuvent capturer de nombreuses grosses gouttelettes produites par un porteur de masque qui éternue ou tousse, à la lumière des caractéristiques du problème décrites ci-dessus, ne sont pas pertinentes. Voir, par exemple, des études de ce type: Leung (2020), Davies (2013), Lai (2012) et Sande (2008).



Pourquoi il ne peut jamais y avoir de test empirique d’une politique nationale de port de masque


Comme mentionné ci-dessus, il n’existe aucune étude qui montre un bénéfice d’une politique générale de port de masques en public. Il y a une bonne raison à cela. Il serait impossible d’obtenir des résultats sans ambiguïté et sans parti pris :


Tout avantage du port de masque devrait minime, non détecté dans des expériences contrôlées, qui serait noyé par les effets plus importants, notamment l’effet important du changement de l’humidité atmosphérique.

Les habitudes de conformité et d’ajustement des masques seraient inconnues.

Le port du masque est associé (corrélé) à plusieurs autres comportements de santé ; voir Wada (2012).

Les résultats ne seraient pas transférables, en raison des différences d’habitudes culturelles.

La conformité est obtenue par la peur, et les individus peuvent s’habituer à une propagande basée sur la peur, et peuvent répondre essentiellement de manière disparate.

Le contrôle et la mesure de la conformité sont pratiquement impossibles et sont sujets à de grandes erreurs.

Il est notoire que les déclarations volontaires (comme dans les enquêtes) sont biaisées, car les individus ont la conviction intéressée, que leurs efforts sont utiles.

La progression de l’épidémie n’est pas vérifiée par des tests fiables sur de larges échantillons de population, et repose généralement sur des visites ou des admissions à l’hôpital non représentatives.

Plusieurs agents pathogènes différents (virus et souches de virus) provoquant des maladies respiratoires agissent généralement ensemble, dans la même population et/ou chez les individus, et ne sont pas résolus, tout en ayant des caractéristiques épidémiologiques différentes.



Aspects inconnus du port du masque


De nombreux préjudices potentiels peuvent découler des politiques publiques générales de port de masques, et les questions suivantes restent sans réponse :


Les masques utilisés et chargés deviennent-ils des sources de transmission accrue, pour le porteur et les autres ?

Les masques deviennent-ils des collecteurs et des réservoirs d’agents pathogènes que le porteur du masque éviterait autrement en respirant sans masque ?

Les grosses gouttelettes capturées par un masque sont-elles atomisées ou pulvérisées en composants respirables ? Les virions peuvent-ils s’échapper d’une gouttelette en évaporation collée à une fibre du masque ?

Quels sont les dangers de la croissance bactérienne sur un masque usagé et chargé ?

Comment les gouttelettes chargées d’agents pathogènes interagissent-elles avec les poussières et les aérosols de l’environnement capturés sur le masque ?

Quels sont les effets à long terme sur la santé des travailleurs de la santé, tels que les maux de tête, résultant d’une respiration entravée ?

Y a-t-il des conséquences sociales négatives pour une société masquée ?

Y a-t-il des conséquences psychologiques négatives au port d’un masque, en tant que modification comportementale basée sur la peur ?

Quelles sont les conséquences environnementales de la fabrication et de l’élimination des masques ?

Les masques perdent-ils des fibres ou des substances qui sont nocives lorsqu’elles sont inhalées ?



Conclusion


En formulant des recommandations et des politiques de port du masque à l’intention du grand public, ou en approuvant expressément cette pratique, les gouvernements ont à la fois ignoré les preuves scientifiques et fait le contraire de suivre le principe de précaution.


En l’absence de connaissances, les gouvernements ne devraient pas élaborer des politiques qui ont un potentiel hypothétique de causer des dommages. Le gouvernement a un obstacle à franchir avant d’entreprendre une vaste intervention d’ingénierie sociale ou de permettre aux entreprises d’exploiter des sentiments fondés sur la peur.


En outre, les individus doivent savoir qu’il n’y a aucun avantage connu à porter un masque dans une épidémie de maladie respiratoire virale, et que des études scientifiques ont montré que tout avantage doit être résiduellement faible, comparé à d’autres facteurs déterminants.



Sinon, quel est l’intérêt de la science financée par les pouvoirs publics ?


Le présent document sur les masques illustre la mesure dans laquelle les gouvernements, les médias grand public et les propagandistes institutionnels peuvent décider d’opérer dans un vide scientifique ou de ne sélectionner que des données scientifiques incomplètes qui servent leurs intérêts. Une telle insouciance est certainement aussi le cas avec l’actuel confinement mondial de plus d’un milliard de personnes, une expérience sans précédent dans l’histoire médicale et politique.



Bibliographie


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Dr Denis Rancourt, PhD - ResearchGate

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