Le candidat surprise de l'élection présidentielle...


Biden, un choix incompréhensible...


Pourquoi avoir choisi Joe Biden, totalement sénile et incapable même de tenir un propos cohérent, comme candidat en face du très populaire candidat Trump?


Incompréhensible? Vraiment? Et si l'idée, c'était d'attirer l'attention sur lui, alors que bien sûr il est hors d'état mentalement...

Le plan possible des démocrates américains à la veille de l'élection présidentielle: remplacer le candidat Biden, éclaboussé par un scandale de corruption et manifestement atteint de démence sénile au point de ne pas pouvoir assumer ses fonctions...


Jusqu'au dernier moment, tous les projecteurs seraient braqués sur lui, et non sur le candidat de dernière minute qui se tient prêt en coulisse.

Un candidat, et non une candidate.

Ni Hillary Clinton, très gravement compromise et tout près de passer enfin en jugement pour des crimes d'Etat, ni Kamala Harris, jusqu'alors inconnue.

Non. Je pencherais plutôt pour une personnalité publique, célèbre, populaire, appréciée.

Et puis, tiens, puisque l'on parlait de Hillary Clinton, qu'on a d'abord connue comme première dame aux côtés de l'inconsistant Clinton et ses affaires de quéquette (qui sortent opportunément au jour - les histoires, je veux dire...) qui font passer sa femme pour une pauvre épouse bafouée...

Alors que c'est elle qui porte la culotte, c'est elle, la Clinton qui compte, et qui doit être élue pour mettre en oeuvre la dernière (?) phase du plan de mondialisation et de destruction de l'Amérique et "des restes du monde"...

Oui, puisque l'on parle de cette tradition étasunienne de présenter l'ancienne première dame à la présidence, parlons de l'épouse de l'ancien président Obama. On ne sait pas trop comment l'appeler d'ailleurs. Michael LaVaughn Robinson, alias Michelle Obama, surnommé Big Mike par les américains au parfum...


Une thèse qui est (outre la mienne) celle d'Alexis Cossette, animateur de la célèbre chaîne Radio Québec, fraîchement censurée partout.



"Big Mike"

Michelle Obama est un homme


https://www.youtube.com/watch?v=9lSbzdlANrI





16 octobre 2020

André Bercoff reçoit Alexis Cossette sur Sud radio


https://www.youtube.com/watch?v=5zdrZ1rRAU8&feature=youtu.be

6.50    Joe Biden compromis avec l'ancien président ukrainien dans un scandale politique

14.00  Sur l'incapacité de Biden

16.00  Sur le choix d'un candidant incapable mentalement et le candidat surprise


Le couple Barry Soetoro, alias Barack Obama, et Michael LaVaughn , alias Michelle Robinson



Le scenario

A la dernière heure, un événement "imprévu" invalide la candidature de Biden: raison de santé, manifestement - si même ce n'est pas un décès...

Et là, en dernière minute, un candidat fait son apparition: Michelle/Michael LaVaughn Robinson/Obama!

Pas le temps de débattre, pas le temps d'attaquer la candidate (!) démocrate sortie du chapeau.

Noire. 

Femme (transsexuel).

Deux atouts face à l'odieux raciste (?).

Ca, c'est le narratif officiel.

Mais qu'en est-il vraiment de la popularité de l'un et de l'autre en réalité, même au sein des populations noires? 

Trump reçoit le soutien des communautés noires, ainsi que d'autres communautés. Sans doute pas dans leur ensemble, certes, mais il a le soutien de nombreuses communautés ethniques qui sont un enjeu majeur des démocrates. La tentative de récupération du vote noir (Black Lives Matter et le chaos organisé -et bien organisé (voir notre édito vidéo "Noir c'est noir")-  grâce aux émeutes antifa notamment n'a pas totalement pris: sur les réseaux sociaux, canal d'expression accessible au plus grand nombre, le seul, en fait accessible à la masse, des jeunes afro-américains se sont indignés qu'on les instrumentalise, qu'on les prenne pour des abrutis incapables de réfléchir, de voir la manoeuvre grossière destinée à les faire adhérer au camp démocrate.

"Black voters for Trump" (Les électeurs noirs pour Trump) sont un des groupes communautaires constitués qui soutiennent le président sortant.


Ne pas laisser le temps

Ne pas attirer l'attention, ne pas laisser le temps de communiquer, voilà la clé: ne pas laisser le temps au camp républicain de communiquer sur l'identité sexuelle de Michael LaVaugn, alias Michelle Obama. 

Car une partie de l'électorat n'est certainement pas encline à voter pour un transsexuel. Malgré le chantage à l'homophobie ou à je ne sais quoi.

Peut-être pour une seul raison d'ailleurs: on a menti aux américains. On s'est fichu d'eux. La première dame est un homme. Et selon les révélation du dr Espinanzo (nom  et orthographe à vérifier - ndlr), ce n'est pas un trans, c'st un homme avec ses attributs (et des implants mammaires en guise de seins). Leurs enfants sont adoptés, (bien que l'ancienne "première dame" raconte une histoire de fausse-couche qui laisse supposer qu'elle est une vraie femme et éventuellement que c'est la raison qui fait qu'elle ne peut pas avoir d'enfants?).

Mon pénis est plus gros (montage photo)


Tous les électeurs de Trump ne se déclarent pas.

Tous les électeurs de Trump ne se déclarent pas, loin de là: nombre d'entre eux (surtout les noirs?) ont été la cible d'attaques, et pas seulement d'attaques verbales. Menaces, harcèlement, mesures de rétorsion, meurtre pur et simple...

Il ne fait pas bon afficher publiquement son soutien au président en exercice... au... président en exercice! Ce serait indigne, honteux... et en tout état de cause dangereux, de se déclarer publiquement pour... le président en exercice!

Au pays des libertés!

Jamais un président américain n'aura subi une telle attaque, depuis le premier jour de ses fonctions -et même bien avant! Il aurait même essuyé 25 tentative d'assassinat! (selon le Dr Rashid Buttar, entre autres sources).

Tous les électeurs de Trump ne se déclarent pas, par crainte, et on les comprend. 

Si les élections peuvent avoir lieu sans vote par poste (sans présentation de pièce d'identité, sans sécurisation...) et sans vote électronique, deux options qui permettent d'organiser une fraude difficile (mais pas impossible...) à détecter...

Alors on pourrait avoir des surprises.

D'où la nécessité pour les démocrates de prendre la main et de produire leur effet de surprise: Michael Obama, la candidate prévue pour la dernière heure... depuis la toute première heure...

En tout cas on n'imagine pas Biden aller au bout... Ou si?

Qui vivra verra.


Prune




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