Site: GEOPOLINTEL
Conflit d’intérêts autour du coronavirus :
Agnès Buzyn vs Didier Raoult
Agnès Buzyn et son mari Yves Lévy, ex PDG de l’Inserm
https://www.geopolintel.fr/article2194.html
samedi 21 mars 2020
Didier Raoult a eu un conflit avec Yves Lévy, PDG de l’Inserm et mari de la ministre de la santé Agnès Buzyn. [1]
Le conflit portait sur le statut des IHU (Institut hospitalo-universitaire). Didier Raoult l’a publiquement exprimé à plusieurs reprises et notamment dans un article du Canard qui soulignait « le conflit d’intérêts patent entre une décision ministérielle sur le statut des futurs IHU et la position similaire du PDG de l’Inserm ».
Yves Lévy est aussi engagé dans le lancement du laboratoire chinois dont serait peut être issu le virus qui frappe la planète.
Mais comment ne pas voir aussi le conflit d’intérêts avec la décision d’Agnès Buzyn qui au mois de janvier a classé la chloroquine, expérimentée par Didier Raoult, dans la catégorie des substances vénéneuses [2].
Lors de l’inauguration de l’unité de Didier Raoult datant du mois de mars 2018, celui-ci n’a pas reçu les honneurs qu’il méritait.
L’Inserm et le CNRS ont retiré leur label aux deux nouvelles unités de l’IHU de Marseille au mois de janvier 2018.
Cela paraît absurde mais pas tant que cela puisque la même année Yves Lévy orientait les recherches sur la Bioéthique. La bioéthique et la fameuse méthode CRISPR [3] ont été examinées en mission d’information de la conférence des présidents sur la révision de la loi relative à la bioéthique le mardi 23 octobre 2018.
Ce que nous pouvons observer c’est que la ministre Buzyn et son mari ont privilégié les technologies permettant de modifier, réduire ou augmenter de façon ciblée l’expression d’un ou plusieurs gènes.
Le conflit peut se résumer ainsi :
Soit on travaille sur des technologies concrètes et anciennes dans l’unité de Didier Raoult et cela coûte peu cher
Soit on dirige la recherche coûteuse et incertaine vers ce fameux CRISPR.
Le CRISPR permet selon François Hirsch, directeur de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) de corriger les déficits génétiques ; armer des cellules contre les maladies, dont le cancer et le sida ; éradiquer les animaux « nuisibles », tels que les moustiques responsables de maladies infectieuses en Afrique ou dans les pays du Sud ; modifier les animaux d’élevage ; modifier les micro-organismes et modifier les plantes.
Sauf que ce qui est dérangeant c’est que l’Inserm s’ouvre à une collégialité avec des laboratoires étranger comme le MIT de Harvard de George Church et Feng Zhang.
Ces deux scientifiques sont pointés du doigt pour eugénisme et avoir réussi à diminuer de manière considérable les coûts de séquençage du génome, rendant crédible la perspective de fournir une réponse à toute personne désireuse de connaître ses prédispositions à certaines maladies et pourquoi pas le paludisme en Afrique pour contrer la chloroquine de Raoult.
L’institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée Infection de Didier Raoult est « le plus grand investissement d’État jamais acquis pour un projet de recherche ».
Comment ne pas voir que l’association Buzyn/Lévy voulait torpiller le travail du professeur Raoult.
Le jour de l’inauguration de l’institut hospitalo-universitaire, Agnès Buzyn pour la santé ou Frédérique Vidal pour l’enseignement supérieur et la recherche, étaient les grandes absentes.
Voilà la situation, c’est un scandale basé sur un conflit d’intérêt et pendant ce temps des gens meurent ou vont mourir.
NB : INSERM : Yves Lévy a été remplacé par Gilles Bloch en janvier 2019
Notes
[1] https://www.marianne.net/politique/...
[2] https://www.legifrance.gouv.fr/eli/...
[3] https://www.leyton.com/blog-fr/?p=9...
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Un décret contre le traitement du Pr Raoult
27 Mars 2020, 06:54am
(relayé depuis le site: ciel voilé - adresse en bas de page)
Depuis cet après- midi, je lis partout que : "Le gouvernement autorise par décret le traitement à la chloroquine pour tous les patients atteints du coronavirus".
Or, ce n'est pas ce que dit le nouveau décret pris le 25 mars 2020. IL N'A JAMAIS ETE INTERDIT EN FRANCE DE TRAITER LES PATIENTS ATTEINTS DU COVID 19 PAR LA CHLOROQUINE. Ce nouveau décret INTERDIT au médecin généraliste de la prescrire.
Analyse des textes:
Depuis 1945, la chloroquine est utilisée pour lutter contre le paludisme.
Selon le professeur RAOULT, elle a, déjà, été administrée à plus de 1 milliard de personnes.
Depuis de nombreuses années, la chloroquine était en vente libre en pharmacie sans prescription médicale.
Le 13 janvier 2020, au moment où, la Chine subissait l’épidémie de COVID 19, la Ministre de la santé a pris un décret et a classé la Chloroquine (l’hydroxychloroquine) « sur la liste II des substances vénéneuse. »
Cela veut dire que dès parution de ce décret, la chloroquine ne pouvait plus être délivrée sans ordonnance.
Ce qui veut dire que n’importe quel médecin généraliste pouvait la prescrire à ses patients.
Depuis que le professeur RAOULT a décidé de traiter ses patients atteint du COVID 19.
Le 23 mars 2020, Le Haut conseil de la Santé Publique a recommandé de ne pas utiliser ce traitement en l’absence de recommandation, à l’exception de formes graves, hospitalières sur décision collégiale des médecins et sous surveillance médicale stricte.
Ce Haut Conseil n’a pas de pouvoir législatif il ne donne que des recommandations.
Le 25 mars 2020, le Premier Ministre a pris un Décret relatif au PLAQUENIL (hydroxycloroquine), je cite « La spécialité pharmaceutique PLAQUENIL© et les préparations à base d'hydroxychloroquine ne peuvent être dispensées par les pharmacies d'officine que dans le cadre d'une prescription initiale émanant exclusivement de spécialistes en rhumatologie, médecine interne, dermatologie, néphrologie, neurologie ou pédiatrie ou dans le cadre d'un renouvellement de prescription émanant de tout médecin. »
Ce qui implique que depuis hier, PLAQUENIL ne PEUT PLUS être délivré par les médecins généralistes.
Son utilisation est réservée dans le cadre « classique » (ex : paludisme) et dans le cadre de renouvellement d’ordonnance. Il ne pourra être utilisé pour traiter le COVID 19 que dans le cadre d’une hospitalisation.
Or, pour être hospitalisé il faut présenter des symptômes graves (Forte fièvre, et surtout atteinte des poumons) ce qui implique que si un patient va chez son médecin avec des symptômes « non graves » et qu’il est testé positif au COVID 19, il sera renvoyé chez lui sans être hospitalisé et DONC sans possibilité de bénéficier du traitement CHLOROQUINE et AZYTROMICINE (l’antibiotique).
Avant ce décret pris le 25 mars 2020, un patient présentant des symptômes non graves pouvait bénéficier du traitement à base de chloroquine.
Ce n’est, selon moi, plus le cas.
Pour finir, les Chinois ainsi que le professeur RAOULT ont mis en avant que la Chloroquine devait être administrée le plus tôt possible aux patients atteints de COVID 19 pour permettre la réduction rapide (4 à 6 jours) de la charge virale et permettre aux patients de ne pas avoir de grave complications pulmonaires.
OR, LORSQU’ON EST TESTE POSITIF AU COVID 19 COMMENT BENEFICIER DU TRAITEMENT « CHLOROQUINE » EN AMONT, SI LES SYMPTOMES QUE NOUS AVONS NE NOUS PERMETTENT PAS D’ETRE HOSPITALISES ?
Auteur : un abonné de Franck Buhler FB
http://www.cielvoile.fr/2020/03/un-decret-contre-le-traitement-du-pr-raoult.html