Les Chiffres officiels de l'INSEE parlent d'eux-mêmes:



mise à jour le 22 septembre - article en supplément


L'édito du 16 août de Judith-Prune



PAS DE SURMORTALITE ?

PAS DE PANDEMIE

C.Q.F.D.



Les Chiffres officiels de l'INSEE parlent d'eux-mêmes:



Un pic de surmortalité... dans le 1er mois du confinement...

Rien avant, rien après... Une pandémie? Où çà?




La surmortalité est survenue ponctuellement et brutalement... au moment du confinement...

Qu'est-ce que c'est que cette histoire?

Populations terrorisées, opérations annulées, interdiction de sortir, visites interdites, socialité brisée, niveau de stress extrême... provoquant toutes sortes d'aggravation brutale des conditions médicales (pathologies) présentes chez les personnes âgées et/ou fragilisées médicalement et socialement...

Les personnes qui n'ont pas osé se rendre aux urgences dans des cas importants de peur d'être contaminées... Les services médicaux fermés (eh oui... les soins et interventions ont été limités pour "éviter la propagation du virus", mais pas celui de la peur...), les visites chez le médecin impossible pour cause de confinement...

Donc,  il a été question de tout mettre en panne pour "éviter la saturation des hôpitaux"...

Saturation qui  ne s'est jamais produite...

Sauf sans doute dans les zones très fortement urbanisées où les hôpitaux fonctionnent toujours à plein régime, et pas à cause d'une crise sanitaire inventée mais à cause d'une crise politique et sociale  orchestrée de longue date par les vendus qui occupent les postes de pouvoir. Ceux-ci ont systématiquement démantelé toutes les institutions au service de la population. Les mouvements sociaux répétés, les demandes légitimes  des professionnels du soin  se sont succédé jusqu'à arriver à un paroxysme... ignoré puis réprimé par le pouvoir en place.

Intéressant, non? 

De toute manière, un hôpital n'a pas vocation à rester vide! Y compris et surtout son service de réanimation!

La présence de l'hôpital et de tous ses services, répond à un besoin constant d'assistance et de soin, de prévention.

Mais curieusement, l'hôpital de Moulins (où une de mes connaissances a continué ses soins urgent toutes les 2 semaines comme le prévoyait son protocole) était vide.

La plupart des consultants - comme des soignants - était enfermée  à la maison, privés des soins que nécessitent leur état pour les uns, privés de la possibilité de travaillé et prodiguer ces soins pour les seconds...


Point important

La localisation de la surmortalité.

Elle se produit dans les départements les plus peuplés, c'est très logique. Pourtant d'autres facteurs que la contagion entrent en ligne de compte du fait de la densité.



La densité de population soulève de nombreux problèmes de santé publique.

Notamment tous les types de pollutions,  y compris électro-magnétiques, très présents à Wuhan  d'où est partie "l'épidémie" ainsi que dans le   nord de l'Italie, si durement touchée (par une surmortalité ayant presque exclusivement affecté des personnes de plus de 70 ans avec pathologies multiples) - et un système de "santé" (institution  hospitalière) quasi  inexistant du point de vus de l'organistation et des infrastructures fonctionnelles.


Sans compter tous les types de d"compensation suite à ce choc social et personnel sans précédent: solitude, chômage, surcharge de travail pour les parents isolés, internement des vieux privés de visites... Suspension des consultations psychothérapiques et psychiatriques - au moment où un nombre bien plus grand qu'à l'ordinaire en aurait eu un besoin vital!!!

Mais qu'est-ce que c'est que cette histoire???

Et qu'on ne vienne pas mettre en regard "le nombre de vis sauvées sur la route grâce au confinement": le nombre de tués sur la route, c'est 2000 personnes par an. PAR AN.

Comptons large, mettons 3000, voilà qui nous fait... 250 personnes par mois.


"Pour autant, faire le lien un pour un entre ces décès supplémentaires et la mortalité due à l’épidémie ne va pas de soi : la période depuis le 17 mars est atypique parce qu’elle cumule l’effet d’une épidémie inédite et celui de la mise en place d’un confinement, avec ses conséquences réelles ou supposées sur les différentes causes de décès : en premier lieu, une diminution de la transmission des maladies virales (dont c’est le but), mais aussi une moindre pollution, une vie au ralenti avec moins d’accidents mais sans doute davantage de stress, des effets éventuels de plus long terme avec notamment des reports de diagnostics ou de soins pour des cancers, chaque composante étant difficile voire impossible à chiffrer. Ainsi, si l’on sait mesurer précisément l’effet modeste sur les accidents de la route (108 tués en moins en mars 2020 par rapport à mars 2019), les autres effets seront beaucoup plus compliqués à évaluer. "  (site de l'INSEE)


Source:

https://blog.insee.fr/statistiques-sur-les-deces-le-mode-demploi-des-donnees-de-linsee-en-7-questions-reponses/ 



La mortalité  moyenne, c'est environ 52.000 décès par mois. 

52.000 décès PAR MOIS

Bien, maintenant examinons de plus près ce pic de surmortalité extrêmement circonstancié et mettons-le en regard de la fameuse "courbe en cloche", et surtout, intéressons-nous à la moyenne d'âge touchée par cette terrible épidémie...


Voici un tableau comparatif des décès cumulés (toutes causes confondues) par sexe et âge :

(source INSEE)



La ligne horizontale représente le zéro, qui signifie la valeur de référence de la mortalité moyenne pour l'année 2019.


Qu'apprenons-nous?

Eh bien que de 0 à 49 ans,  la mortalité est globalement bien moindre qu'en  2019.

Ensuite, de 50 à 64 ans (les personnes actives professionnellement), la surmortalité est de 10% environ.

Puis au-dela de 65  ans, l'âge de la retraite (et l'entrée dans des maisons de retraite parfois médicalisées, qui sont des lieux clos sur lesquels il aurait à dire...), jusqu'à "85 ans et plus", la surmortalité augmente nettement, avec une différence entre les hommes, plus touchés (35%  env) et les femmes (25% env). C'est comme si l'humain avait oublié qu'il est mortel!

Et que la probabilité de mourir augmente avec l'âge... Curieux, non?

Je n'ai qu'une anecdote personnelle de première main sur un décès en maison de retraite sciemment attribué de manière mensongère au virus.

Cette personne d'une soixantaine d'année, handicapée dépendante, enfermée dans sa chambre et clouée au lit serait morte de solitude absolue, de négligence?... Si ce n'est pas de faim ou de soif... Qui le saura? Car les personnels "débordés" - ceux qui n'ont pas déserté leur poste par peur de la contagion comme c'est arrivé au Québec! -  n'ont assuré que le strict nécessaire vital. Et encore, apparemment pas...


La famille a été privée des funérailles à cause des mesures générales et sans rapport avec cette attribution de décès, qui n'a été découverte incidemment que suite à une négligence du personnel!  Des témoignages sans nombre soulignent ces pratiques inquiétantes de manipulation des chiffres. Mais bien sûr ils sont systématiquement passés sous silence, et leurs auteurs sans autre audience que les "réseaux sociaux" ou leur cercle de proches, toujours décrédibilisés.

Diviser pour mieux régner...


Conclusion

Mis à part la dernière colonne qui établit le "total", c'est-à-dire une moyenne (concept cher aux statisticiens) qui ne correspond à rien de concret, la surmortalité par rapport à l'année passée augmente régulièrement avec l'âge. Plus on est vieux, plus on meurt. Point final.

Mais la question est: surmortalité, et non mortalité.

Cette surmortalité est survenue presque exclusivement chez les aînés, dont la très grande majorité vit en maison de retraite avec toutes les conditions particulière à étudier, sans parler des négligences maltraitances, voire "sédation" (comprenez euthanasie) utilisée comme thérapeutique de crise...


Il n'est pas flagrant que cette surmortalité soit exclusivement due à une infection virale.

En réalité, les indicateurs penchent dans un autre sens.

Mais les directives nationales, issues de directives mondial(ist)es de l'OMS de décompte des décès gonflent les chiffres d'une épidémie-plandémie invisible.


Donc:

La surmortalité concerne exclusivement les "plus de 65 ans", relativement jusqu'à 70 et les plus de 70 ans, massivement.

Une épidémie qui fait des morts chez les vieux, malades (enfermés...),  ça pose question, non?

Non?


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Le Rivotril® (clonazepam) de nouveau autorisé avec « Prescription hors-AMM exceptionnelle » par tout médecin

Le Journal Officiel du 27 mai 2020 publie un nouvel arrêté complétant l’arrêté du 23 mars 2020 prescrivant les mesures d’organisation et de fonctionnement du système de santé, nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire.

Le texte autorise de nouveau, « en cas de difficulté d’approvisionnement en midazolam, les spécialités pharmaceutiques à base de clonazepam [ex : Rivotril®] qui peuvent faire l’objet d’une prescription en dehors du cadre de leurs autorisations de mise sur le marché par tout médecin, même non spécialiste, jusqu’à la fin de l’état d’urgence sanitaire pour la prise en charge médicamenteuse des situations d’anxiolyse et de sédation pour les pratiques palliatives, dans le respect des recommandations de la Haute autorité de santé. »

«sédation pour les pratiques palliatives»

Ici sédation signifie dose létale,  donc mort,  puisque palliatif signifie accompagnement à la mort.

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Le quotidien du médecin

« Non, il ne s'agit pas de cautionner l'euthanasie. » Le Pr Olivier Guérin, président de la Société française de gériatrie et gérontologie (SFGG), a ainsi tenté de désamorcer la polémique autour du clonazépam (molécule de la classe des benzodiazépines), après la publication du décret le 29 mars au « Journal officiel ». 

Ce décret stipule que le Rivotril sous forme injectable peut faire l'objet « d'une dispensation, jusqu'au 15 avril 2020, par les pharmacies d'officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d'être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l'état clinique le justifie sur présentation d'une ordonnance médicale portant la mention “Prescription Hors AMM dans le cadre du Covid-19” ». Il précise que dans cette prescription hors autorisation de mise sur le marché (AMM), le médecin doit « se conformer aux protocoles exceptionnels et transitoires relatifs, d'une part, à la prise en charge de la dyspnée et, d'autre part, à la prise en charge palliative de la détresse respiratoire, établis par la Société française d'accompagnement et de soins palliatifs (SFAP) ».

Source:

https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/sante-publique/soins-palliatifs-et-covid-19-polemique-autour-de-la-dispensation-du-rivotril-en-ville-les 

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Silvano trotta sur la situation dans les EHPAD



https://www.youtube.com/watch?v=-_b2hg73NIo 

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IMPORTANT

(Des documents sur l'extorsion de consentement à l'euthanasie des personnes âgées en Suède et Royaume-Uni sont en cours de publication par nos soins - bientôt en ligne)




Les Chiffres de l'INSEE...

et quelques autres petits rappels...







PAS DE SURMORTALITE ?

PAS DE PANDEMIE


POINT FINAL


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ANNEXE

France Soir

Publié le 14/09/2020- Mise à jour le 21/09/2020


Les données INSEE démontrent qu’il est impossible d’avoir 30 800 morts en plus en 2020 à cause du COVID-19!




Les données INSEE démontrent qu’il est impossible d’avoir 30 800 morts en plus en 2020 à cause du COVID-19!


Auteur(s): Docteur Peter EL BAZE pour FranceSoir


Ndlr : cet article a fait l'objet d'une vérification externe par Checknews qui a relevé une incohérence que l'auteur a reconnue. Merci à Libé pour son travail.  Le modèle de Francesoir repose sur des articles rédigés par des journalistes mais également sur des contributions libres sous forme de tribune d'opinion.  Cette liberté a un corollaire, accepter la critique et la responsabilité. C'est de cette saine confrontation que naitra la vérité. La mise à jour a été faite ce 21 septembre 2020.



TRIBUNE

D’après les chiffres officiels de l'INSEE du nombre de morts toutes causes confondues du 1er janvier au 31 juillet 2020 en France, on nous annonce une surmortalité de 30 800 morts Covid en plus par rapport à l’année précédente. 


Ceci n’est pas possible et nous en faisons la démonstration.

Commençons par regarder le nombre total de morts en France entre le 1 janvier et le 31 juillet des 3 années : pour 2018 il est de 363 955, en 2019 de 362 900 et en 2020 de 379 200.  Ceux sont les décès toutes causes pour la France.   Par différence, il y a donc + 15 245 décès en plus en 2020 qu’en 2018 et + 16 300 décès en plus entre 2020 et 2019.


Logiquement, il est impossible qu'il y ait plus de 16 300 morts de plus en 2020 (quelqu’en soit la cause, COVID ou PAS COVID).


Un ajustement est aussi nécessaire.

Pour être plus complet, il faut enlever de ce chiffre maximum de 16 300 morts en surplus par rapport à 2018 :


Les 2000 à 3000 morts/an qui s'ajoutent chaque année à cause de l'augmentation de la population et de son vieillissement.

Les morts en mars-avril-mai 2020 d'autres pathologies par privation de soins à cause du confinement. Et ceux-là se chiffrent en millier.

En conséquence, le chiffre ajusté du nombre de morts en France est obligatoirement très inférieur à 14 500 dont une petite partie à cause du COVID-19.


Une correction basée sur des indices mondiaux

En appliquant le taux de mortalité mondial moyen actuel de 0,011% à la France, on obtient environ 7 000 morts, ce qui serait cohérent avec l'Allemagne qui déclare 9000 morts pour 84 millions d'habitants.


Un peu de bon sens, la France qui a une des meilleures médecines du monde ne peut pas avoir 400% de morts en plus que la moyenne mondiale !


La majorité des certificats de décès cochés morts COVID-19, ne sont pas morts à cause du COVID-19


Une recommandation de pas chercher de preuve médicale (test, autopsie) mais une simple suspicion,

Une recommandation de ne pas faire de diagnostics différentiels avec les autres pathologies graves du patient (Insuffisance cardiaque, HTA, cancers, etc) présentes chez 99% des patients décédés,

Une incitation financière : elle est de 5000 euros/certificat dans les hôpitaux (section effacée à la demande de l'auteur).  Elle est de 55 euros en médecine de ville.

 


Les arguments erronés qui ne manqueront pas d’être évoqués

Diminution des morts pas accidents de la route en mars-avril : les 200 morts en moins d'accidents de la route du fait du confinement ne changent rien à ces chiffres.

En 2020 il y a 14 000 personnes qui auraient dû mourir et ne sont pas mortes sans aucune raison (soit 24 000 sur l’année).  Ce genre de miracle n’existe pas en médecine, cela n’est jamais arrivé dans l’histoire sauf l’année suivante d’une guerre.

14 000 personnes malades ne sont pas mortes grâce au confinement et aux masques.  La réalité c’est que le confinement général est responsable au contraire de milliers de morts en plus parmi les millions de malades chroniques graves par manque de soins, les cabinets de ville et consultation hospitalières étaient vides, même en chimiothérapie !

En épidémiologie, les deux grandes causes de variations de la mortalité sont les guerres et les épidémies.


Mathématiquement il est démontré que le chiffre de 30 800 morts à cause du Covid-19 est impossible.


Que si tous les morts supplémentaires en 2020 étaient tous A CAUSE du Covid-19, leur chiffre ne peut pas dépasser 14 500 et probablement beaucoup moins.


 

Auteur(s): Docteur Peter EL BAZE pour FranceSoir

Docteur Peter EL BAZE, Ex Médecin Attaché des Hôpitaux du CHU de Nice, ancien Chef du Service de Médecine Interne A1, Les Sources, Nice. Créateur des logiciels médicaux Megabaze et Oncobaze (chimiothérapies).


Source:

http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-donnees-insee-demontrent-quil-est-impossible-davoir-30-800-morts-en-plus-en




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